→Nous rêvons tous d’être une princesse venue d’outre terre. Vivant de bonheur en étant accompagné d’un prince charmant. Seulement avez-vous imaginé qu’une vie comme celle-ci n’est qu’une fable pour enfant. Nous sommes princesses, mais princesses de malheurs. Notre vie n’est pas ce que le conte de fées décrive. Une facette cachée reste cachée. Qui suis-je pour dire de tels propos ? La reine de neige ! Celle ayant enlevé enfants ou bien … Vous le serez d’ici peu.
Une naissance est une bénédiction. Une joie cumulative laissant rayonner au centre d’une famille un nouveau sentiment. Une émotion que nous connaissons que par l’arrivée d’un enfant. Un ange qui apporte avec lui rire et richesse. Une petite boule de tendresse émotionnelle. Alors quand celle-ci vient être perturbée par un phénomène honteux, cet enfant ne pourra ressentir l’amour. Un amour que tous parents de ce nom devraient offerts à leurs prunelles. Ce sentiment d’abandon sera le quotidien d’Elsa Arendelle. À
Un soir étoilé, un doux vent chaud frappait la ville côtière d’Arendelle. Parmi le bruitage des rafales, un petit pleur apparu. Une larme non joyeuse. Un cri de douleur, une supplication. Une femme aux traits épuisés implorait une sage-femme de secourir son enfant. Une nouvelle mère venait de donner naissance à un bambin bleuté. Que pouvait-il se passer d’autre. Un nouveau-né aussi froid qu’un souffle d’hiver. Une petite chose aussi petite qu’un bras ouvrit doucement un œil puis l’autre en criant. Un bonjour bien étonnant. Ne perdant sa couleur. Aussi bleu que l’océan voisin. La mère se leva en accourant vers cet ange. Caressant sa petite joue, glissant les doigts vers son œil pour y repousser une mèche blanche. Les deux grands yeux de Madame Arendelle s’élargissent. Qui non comment un enfant pouvait-il avoir une chevelure de cette couleur, se demandait-elle. Versant des larmes de joies, elle riait en oubliant cette histoire. Il doit s’agir de la fatigue, se disait-elle.
Le mensonge ne pouvait durée. Les nouveaux parents regardaient leur unique fille avec dégout et peur. Lorsque ses pleurs ou des crises se montraient, la température de la pièce descendait, la glace se formait autour du berceau. Na Ra n’était pas normal.
Alors que la croissance se faisait avec plus de mal que de bien, une petite fille montrait son bout du nez. Une ravissante demoiselle aux cheveux caramel brun. Un amour ! Une descendante normale. Princesse Anna avait réussi à charmer son père et sa mère qui voyait enfin la vit un peu mieux.
Cependant, bonheur apporte souvent malheur. Esla soit, Na Ra comprit tôt le don qu’elle possédait. Ne voulant montrer à ses parents la faculté impressionnante que son petit corps renfermait en elle. Sa sœur était l’unique personne pouvant les apercevoir. Créant un monde imaginaire. Un univers sans adulte. Un plaisir bien à eux. Mais, lors d’une journée Na Ra jouaient avec Anna (Eun Rin), elle lance accidentellement un rayon de glace sur la tête de sa sœur, ce qui la blessa gravement. Elle regarda sa petite sœur tombée. Restant figés en n’ayant aucune réaction, ses parents arrivèrent. Pleurant, criant pour que la deuxième d’Arendelle se réveille. Le Roi et la Reine amènent la demoiselle immédiatement chez les trolls. Éliminant radicalement le sort, mais qui laissait place à un oubli chez Anna. Aucun souvenir de la vraie Na Ra.
Cet accident créa chez Baek une méfiance d’elle-même. Un sentiment hautain. Les années passèrent et la première de la famille devient distance. Surmerger par la peur de commettre de nouveau l’impardonnable. Son souhait de vivre normal ne se fit point.
Ses parents qui la regardèrent de haut l’obligèrent à se couvrir y compris les mains. Les années avaient beau passées, le désespoir qui la grugeait lui apportait misère. Qui ne fit que s’amplifier à la mort de ses géniteurs. Montant sur le trône à treize ans, ayant atteint l’âge d’être couronné. Le couronnement ne se fit qu’amplifier sa nervosité.
Couronnement dit respections. Le château ouvrit ses portes pour une des rares fois. Ce qui fit monter en Elsa l’inquiétude. Si elle faisait un mauvais pas, tout allait être fini. Le déroulement des festivités créa en Na Ra une joie. Voyant son entourage prendre un plaisir aux festivités. Seulement, si Eun Rin n’avait jamais réagi ainsi…
Les voyants dansés. Ne les quittant du regard. Sa sœur souriait en riant pleinement. Ils s'approchèrent. D’une voix douce, l’homme demanda sa main. Refusant d’une voix basse. Anna prise de colère demandait pourquoi. D’un ton de voix maternel, elle lui fit remarquer qu’un amour d’une première rencontre ne pouvait pas durée. Ils ne savaient jamais rencontrés plus tôt dans leur vie. À part de ce soir. Na Ra tenta de s’éloigner de sa sœur, mais cette dernière tenta de la retenir de toutes ses formes. La projetant de commentaire et d’imploration. En allant même à lui enlever son gant au passage. Continuant à se disputer sur ce sujet futile. La reine fit monter en elle la colère épouvantable. Voulant sortir de la salle, sa jeune sœur vient la chercher. Tournant sur elle-même en trainant le bras au passage, une barrière de glace émergea. Les gens reculèrent en criante ‘’sorcière’’. Prise d’assaut. Elle accourut en bousculant le peuple. On la félicita, mais ne voulant qu’une chose. La glace émergea sous ses pieds. Dans un cri de colère. La ville prit un aspect hivernal.
Prise d’émotion nouvelle, elle s’enfuyait. Courant pendant des jours et des jours. Nichant au loin. Elle voulait fuir quitter cet univers. Ne plus voir sa sœur ni personnes, une protection incertaine. Au bout de cinq jours de marche. Na Ra découvrit en elle un sentiment nouveau. Regardant ses mains, une émotion de liberté l’envahit. Criant ‘’LIBRE, JE SUIS LIBRE !’’. Elle accourut au pied d’une montagne. Prenant un respire, d’un coup de pied, d’un geste de main, un château émergea. Un univers que pour elle.
Le choix, une obligation, une liberté !
Un avenir de liberté lui faisait était tendu, mais les tentatives de sa sœur lui fit comprendre le danger qu’elle fût. Un danger pour son entourage, mais aussi pour elle. Choisissant un acte dépourvu de sens, Baek quitta cette forteresse pour commettre l’évitable. Se rendre chez la sorcière Boo Ja. Ce choix crucial, mais le déchirement que son cœur captait le détruisait peu à peu. Renfermant son rêve de pouvoir enfin les contrôler, elle marcha trois jours. Trois jours sans jamais apercevoir l’été. La neige qui tombait en averse. La glace avait revêtu les arbres. Ses cris, ses pleurs, sa propre souffrance qu’elle cachait depuis sa jeunesse devaient enfin être disparaitre. Cette impression de n’avoir été que honte s’évapora peut-être.
Sa dure avancée périlleuse lui est enfin récompensée. Elle poussa d’une main froide la porte d’une maison. Son petit cœur cessait d’avancer. Une femme à la longue chevelure se tourna en lui souriant ‘’Je t’endentais mon enfant’’dit-elle. Na Ra l’approcha en tombant sur le sol. L’épuisement avait fait surface. D’une main ridée, la dame toucha sa joue et lui dit de parler. Rencontrent avec méfiance son histoire à la sorcière laissa ses lèvres montées ‘’en échange de cette perte, tu devras me servir. Pendant neuf ans, tu seras à ma possession. Tu tiendras cette auberge. Personne ne te reconnaitra. Un échange pour un service.’’ avertit Boo Ja.
Un service ressemblant à de l’esclavage. Prenante crainte, elle recula en laissant la glace apparaitre de nouveau sur le sol. La vielle femme reprit parole : tu blesseras encore ta jeune sœur ou pire tu serais sa meurtrière !
Une idée d’un tel acte la submergea. Les pires cauchemardent lui viens en vision. Son pouvoir pourrait être un danger pour son peuple et les autres. Fermant les yeux, elle tendit les mains à la femme et lui donna son accord. La vieille peau ria en lui ordonnant de couper sa longue chevelure blanche. Sortant de sa manche un poignard, elle se plaça derrière Na Ra et d’un mouvement coupa l’extrémité. Ressentant un déchirement en elle, la dame retourna à sa marmite et débuta ainsi son sortilège. Une incantation hypnotisa Baek qui tombait dans les pommes. Son corps étendu sur le sol, sa chevelure blanche changea doucement de couleur. Une couleur chaude chocolatée apparue. Sa peau blanche reprit doucement de la couleur, ses yeux bleus se transformèrent en noisette.
Son sommeil lui dévoila son passé. Une image après l’autre défila comme un film. Une image la réveilla dans ce lit. Regardant au tour d’elle. Ses yeux cherchèrent un miroir non loin. Laissant ses pieds à la traine, sa marche fut bien plus longue que la normale. Se dirigeant vers une cabine, une jeune femme se trouva devant elle. Revêtue d’une tenue de bohémienne, la femme porta sa main à sa joue….
Neuf longues années :
Aujourd’hui, la neuvième année débute tranquillement. L’ancienne Elsa est disparue pour se retrouver sous le charme de Na Ra, une jeune aubergiste bien normale … mais cachant son passé.
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Nous avons tous une personnalité proportionnelle à notre personne. D’après la phycologie humaine. Notre croissance de la naissance à l’âge adulte vient conclure la perception que nous aurons du monde qui nous entoure. Y compris l’aspect que nous dégagerons. Si toutefois, les adultes jugent qu’un enfant turbulent est causé par le comportement maternel et paternel que le parent en question imposera a son enfant. Contrairement à un enfant sage ayant un comportement idéal aux yeux du peuple humain. Alors, si nous prenons le mélange des deux, vous concluez que l’être humain dégage un choix personnel en vus de son comportement. Ce qui veut tout simplement dire : qu’une personne ayant reçu une bonne éducation, mais ayant tourné du mauvais côté est le résultat d’un choix propre a lui-même. Il est plus simple de voir cette certitude que de voir le mal chez l’enseignement de la vie. Alors, pouvons-nous dire avec certitude que les critères personnels deviennent notamment notre propre vison comportemental et psychologique. Il est donc d'une façon nette pour mieux de critiquer l’enfant ayant mal agi par son choix et non l’adulte en question ne voulant éduquer une matière imposer à tous. L’enfant, l’adolescent ainsi que l’adulte sont maîtres de ses propres décisions définitives. Une évidence que peu de gens accroissent à leur subconscient. Ce genre de jugement nous apporte à étudier la tournure choisie par la jeune princesse répondant au nom de Baek Na Ra.
Avant tout autour d’elle était méfiance et depuis sa disparition de l’élément de la glace, son comportement n’a aucunement changé. Sa personnalité forte, mais calme est toujours signe de froideur aux yeux des inconnus. Sa grande maturité presque maternelle démontre une protection envers ceux qui sera captivé son cœur. Malgré, sa méfiance omni présente chez elle. Son sourire est signe de mensonge. Se cachant derrière ce masque invisible. Na Ra aimerait pouvoir vivre sous une joie démonstrative. Bien que sa joie soit certes présente. La réalité de la vie l’a rattrapé sans arrêt. Cependant ayant grandi dans un univers de solitude et de renfermant, Elsa sait ressortir en elle l’enfant qui se cache derrière le bonhomme de neige. Lorsque les enfants du village s’approchent, leurs petits sourires lui font revoir le doux visage de sa sœur Anna. Toutefois, son travail qui lui est confié n’a rien de merveilleux. Peu confiance, certaine de gaffer. Na Ra n’a aucune confiance en elle. Surement la peur de blessés des gens. Souffrante d’anxiété, elle hésitera avant d’ouvrir la bouche pour une discussion et même de réagir. Sauf lorsqu’une personne se retrouvera dans une mauvaise situation. Très protectrice, Baek n’hésitera pas à mettre les gants d’une mère. En laissant les villageois, tourisme à savoir la vérité. N’ayant pas réellement d’ami, par peur de trahison et même de blessure inconnue, la demoiselle restera dans sa chambre en regardant la lune. Tandis que ses petits plaisirs de promenade se feront sous une cape à capuchon, les yeux vers le sol.